L’énergie grise en France : ou en est-on ?

Nous avions commencé à aborder le vaste sujet de l’analyse environnementale des maisons passives dans un précédent billet, pour tenter de répondre à une critique de plus en plus présente quand on aborde le sujet de la construction passive : nous avions pu remarquer que les économies de fonctionnement compensaient généralement les surplus de matériaux mis en oeuvre entre une démarche basse consommation (bbc) et passive. Nous avions pu également observer que le choix du système constructif n’est absolument pas neutre, et que selon le mode constructif retenu, l’énergie grise de l’enveloppe pouvait être 2 à 3 fois supérieure entre une démarche écologique et une démarche conventionnelle.